Les vies silencieuses sont le fruit d’une résidence, pendant trois mois, de Hako Hankson dans la ville de Casablanca. Cette ville a eu une influence palpable sur l’artiste qui a syncrétisé le langage, emprunt de sa culture d’origine, avec les choses vues dans la métropole marocaine.
« On assisterait presque aux noces du sacré et du profane comme dans les œuvres de Michel Macré au et de Basquiat auxquels Hako Hankson voue une admiration sans borne », met en lumière l’écrivain Olivier Rachetfait dans le catalogue de l’exposition, ajoutant que « Hako Hankson opère une jonction salutaire entre sa culture bamiléké et le meilleur de l’histoire de l’art ».