200000 euros de dommages et intérêts et une réputation de nouveau entachée. La série noire est loin d’être terminée pour Cheb Mami, puisqu’il a été prouvé que quatre de ses tubes phares n’étaient pas de lui. C’est apparemment à un parolier algérien répondant au nom de Rabah Zerradine que l’ont doit les très fameuses chansons "Le raï c'est chic", "Madanite", "Ma vie deux fois" et "Gualbi Gualbi".
Très talentueux mais resté dans l’anonymat, Rabah Zerradine a également coécrit la partie arabe de « Desert Rose ». La comparaison des textes initiaux (fournis par l’auteur) aux versions remaniées par la star, a fort heureusement permis au tribunal de première instance de Paris de statuer en faveur de Cheb Rabah qui recevra une indemnisation pour le préjudice moral subi. Bien mal acquis ne profite jamais longtemps…