Voici notre sélection d’intrigues érotiques, des plus communes au plus extrêmes. Inutile de préciser que les rôles s’inversent et se déversent en fonction de vos goûts mais aussi de votre haine du conformisme.
Le plus académique : le professeur et l’élève
Qui n’a jamais fantasmé sur son professeur ! Cette mise en scène plutôt classique est très excitante car elle est donc souvent liée à du vécu. Ne tombez pas dans l’évidence, pour challenger votre apollon, inversez les rôles. C’est vous la prof sévère et c’est vous qui abusez de la supposée « innocence » de votre élève. Ca sera donc un cours très particulier ou, au choix, vous lui enseignez une matière classique ou alors vous lui donnez un cours fondamental sur le sexe !
Le plus public : l’autostoppeuse
Si l’idée de jouer un premier acte en extérieur vous titille, jouez l’autostoppeuse. Sans tomber dans l’exhibitionnisme, portez une jupe ou une robe (plus ergonomique) et faites-vous accoster par votre chéri. Votre destination : le septième ciel. Sa condition : une fellation (par exemple). Et vous voilà en route pour des horizons lubriques.
Attention, repérez un endroit isolé, pas trop tard le soir, histoire qu’on ne vous enferme pas pour racolage.
Le plus professionnel : la call-girl
Absolument rien ne sépare votre peau de votre trench et vos cuissardes, vous sonnez à la porte et c’est un client prêt à payer cher pour vous faire l’amour qui vous ouvre. A vous de sortir le grand jeu : attitude provocatrice et entreprenante et pourquoi pas une enveloppe parce que vous encaissez avant l’acte pardi ! L’option inverse est possible, c’est lui qui se prostitue pour vous donner du plaisir.
C’est un jeu, mettez donc les aprioris de côté et ne faites pas la prude.
Le plus hardcore : le maître et l’esclave
L’un de vous est au service ultime et dévoué de l’autre. L’autre est son maître et possède un pouvoir totalitaire sur lui. C’est lui qui lui dicte son attitude et les gestes à faire pour le combler. Face à lui, l’esclave ne doit prendre aucune initiative et ses paroles doivent se limiter à « Oui, maître(sse) ». Sa bouche sera bien trop occupée pour ne pas oser objecter aux injonctions du maître. C’est clair ?!